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Vent frais berlinois

Partout dans le monde, des villes remarquent que le coronavirus et la baisse de la circulation améliorent la qualité de l'air.

Le nombre de villes concernées est incalculable et montre, entre autres, à quel point la circulation a baissé pendant l’épidémie.

Cette tendance, en revanche, n’est pas confirmée à Berlin, comme le montrent les dernières mesures de l'agence de l’environnement. A titre d’exemple, jusqu’au 17 mars dernier, les valeurs étaient bonnes. Par la suite, la concentration en polluants tels que les particules fines ou le dioxyde d'azote a augmenté, malgré une baisse fulgurante de la circulation dans la capitale. Cela peut s’expliquer par un manque de vent, qui permet habituellement d’évacuer les polluants en les répartissant sur un plus grand espace.

En revanche, une comparaison avec le mois d'avril 2019 montre toute les conséquences de la situation actuelle à Berlin. Comme l'illustre bien le graphique ci-dessus tiré de notre Application Green-Zones, toutes les taux de polluants, à l'exception évidemment du dioxyde de carbone , sont passés de deux à un chiffre par rapport au mois d'avril de l'année dernière (voir la capture d'écran de gauche), incroyable!

Si vous souhaitez également voir les changements dans "votre" zone environnementale, vous pouvez le faire facilement et gratuitement avec notre application.