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Confinement, deuxième partie

Le confinement est de retour. Tous ceux qui pensaient en mars que tout reviendra rapidement à la normale et que la pandémie n’est qu'une note marginale dans l'histoire, se sont trompés.

Depuis quelques semaines c’est clair pour tout le monde : Le virus qui a déjà coûté des centaines de milliers de vies et qui met à genoux notre économie sans précédent, est venu pour rester. Nous devons tous nous y habituer et apprendre à y faire face et à vivre avec le virus. Dans notre blog, nous avons souvent fait référence à des études et des recherches qui décrivent l’effet mutuel entre les infections et les particules fines. Partout où les gens sont exposés à une dose accrue  de ces minuscules particules, le nombre de cas graves de la maladie et surtout le taux de mortalité augmentent considérablement. Les chercheurs et les médecins sont presque unanimes à penser que le virus et les particules fines sont une combinaison mortelle. Selon eux, beaucoup de patients qui meurent du virus ou avec le virus ont également été exposée à des particules. Ainsi, un mort sur sept est directement liée aux minuscules particules qui se trouvent dans l'air que nous respirons. L'extension des zones environnementales et des interdictions de circulation est donc également prévisible. 
Des situations particulièrement extrêmes, comme un confinement, montrent que, après la production d’énergie et l'industrie, le trafic routier est la troisième cause de la mauvaise qualité de l'air. Après l’assouplissement des restrictions après le premier confinement ce printemps, de nombreuses communautés ont dû constater une détérioration de la qualité de l'air. 

 

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