Des déchets nucléaires comme carburant?
Utiliser la radioactivité pour produire une „essence 2.0“? Ca sonne faux, et ça l’est probablement également.
Utiliser la radioactivité pour produire une „essence 2.0“? Ca sonne faux, et ça l’est probablement également.
Ce qui au départ ne semblait être qu'une coïncidence semble en réalité s’expliuer par un lien de cause à effet : l’effet de la pollution sur les cas d’infections au Covid19.
Le monde s'arrête et le coronavirus vient tout bouleverser. Malgré tout, pour les responsables politiques de nombreuses villes du monde, ce n'est pas une raison pour négliger leur politique des transports. Voici une petite comparaison entre trois villes montrant trois choix diamétralement opposés.
Le Covid-19 se propage à une vitesse folle. Les frontières nationales ne constituent bien sûr pas une barrière pour le virus, qui peut provoquer de graves complications pulmonaires.
La foi peut déplacer des montagnes; la voiture comme nouveau lieu de retraite? Pas si sûr.
Les temps sont durs et le Coronavirus est présent au quotidien. La panique s’est emparé des gens ; résultat, tout le monde se rue dans les supermarchés. Pourtant, le danger représenté par la pollution atmosphérique pour notre santé est beaucoup plus grand et omniprésent dans notre vie.
Du neuf dans la lutte contre la pollution de l’air. Depuis longtemps déjà, les gens ne veulent plus dépendre exclusivement des zones environnementales, des restrictions de circulation, ou des voies réservées si malaimées.
Parmi les ravageurs climatiques les plus dévastateurs, la voiture occupe la troisième place. Le trafic est donc l'un des principaux facteurs du changement climatique, et le CO2 émis par le moteur à combustion doit être réduit en permanence.